Chaud tendu d'être SOLLILAQUISTS OF SOUND et de jouer à 19h30. Chaude tendue, la musique des quatre ricains, elle prend au coeur, mettant dans un état lancinant tel un cône de bon piment vert, entre douceur virginale des voix féminines et groove félin du MC, le tout saucé dans une drum n'bass bâtarde flirtant tranquille avec l'école de Bristol.
Ils arrivent par surprise. Cadeau Kinder, apporté par une Emilie Première Pression ravie de sa blague. Nous sommes imbibés, nonchalants, et légèrement saisis. Des gonzo-journaleux, contents comme des gosses.
SOLLILAQUISTS OF SOUND ne réinventent rien musicalement, soyons francs / sont mortels, arrête (avis partagés au sein de la rédac). Sur le plan humain, par contre, on se la mange chaude. Ils nous révèlent leur nouveau concept de tournée, un mois, entier, dans une seule ville. Pour y jouer tous les soirs, rencontrer leurs fans, et s'immerger dans leur univers. True story. T'en veux de l'esprit rock?
Suivra un live impro commencé timidement, s'achevant dans la dentelle de la voix d'Alexandrah, digne et frêle, à l'image de la demoiselle. Autant d'émotion si tôt, est-ce bien raisonnable?...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire